Comme le monde est petit, je recroise la route de Julia, une amie allemande rencontrée à Sydney quelques semaines plus tôt. Les teutons aiment randonner dans la nature, ils sont partout en NZ. A croire qu'il n'y a plus personne en Allemagne. En même temps, les frenchies sont bien représentés aussi. Je vois moins de kiwis que d'européens. Seuls les moutons tirent leur épingle du jeu.
Julia a rejoint sa soeur Christine et a loué un campervan pour fêter ça. Je me joins à elles. Cela me permet de me détacher du bus pendant quelques jours et même de conduire à gauche quelques heures pour explorer les alentours de Pelorus Bridge et de Okiwi Bay.
Qui dit van dit camping. Tout le matériel est prévu avec la bête : 2 camping gaz, vaisselle, matelas pour dormir, chaises pliantes... pas compliqué la vie de touriste.
Qui dit camping dit tente. Je continue dans le "mets-l'eau-drame" : la pluie frappe encore. Et fort. "Wow la NZ, tu verras c'est génial, la nature, les autres voyageurs, tout ça tout ça". Tu parles. La nature nous pisse dessus. Peut-être qu'elle se venge de tous les touristes brûlant de l'essence à grand renfort de van et camping-cars. Je vois aussi une touriste jeter son mégot de cigarette par terre, à 20 m de l'entrée d'un parc national en bord de mer.
Je laisse Julia et sa soeur boucler le Sud. Il y a une nouvelle île qui m'attend plus au nord.
Julia a rejoint sa soeur Christine et a loué un campervan pour fêter ça. Je me joins à elles. Cela me permet de me détacher du bus pendant quelques jours et même de conduire à gauche quelques heures pour explorer les alentours de Pelorus Bridge et de Okiwi Bay.
Qui dit van dit camping. Tout le matériel est prévu avec la bête : 2 camping gaz, vaisselle, matelas pour dormir, chaises pliantes... pas compliqué la vie de touriste.
Qui dit camping dit tente. Je continue dans le "mets-l'eau-drame" : la pluie frappe encore. Et fort. "Wow la NZ, tu verras c'est génial, la nature, les autres voyageurs, tout ça tout ça". Tu parles. La nature nous pisse dessus. Peut-être qu'elle se venge de tous les touristes brûlant de l'essence à grand renfort de van et camping-cars. Je vois aussi une touriste jeter son mégot de cigarette par terre, à 20 m de l'entrée d'un parc national en bord de mer.
Je laisse Julia et sa soeur boucler le Sud. Il y a une nouvelle île qui m'attend plus au nord.
On est ex-aequo, car ce week-end de Pâques nous as copieusement arrosés aussi.
RépondreSupprimerTes moutons de NZ arrivent toutes les semaines en France via Rotterdam après 20 000 KM de transport maritime, exemptés de droits de douanes suites aux pb du Rainbow Warrior en 1985 (et voilà, qui est-ce qui paie les pots après cela ? ) Ils sont moins chers que leurs congénères français du coup.
Bizarre j'ai l'impression de reconnaître la petite voix qui te décrit la NZ...mdr
RépondreSupprimer@MP: oui c'est vrai, je n'ai pas dit que je cautionnais! D'ailleurs les kiwis ont détruit, ou disons transformé, l'équilibre écologique de l'ile pour leurs moutons...
RépondreSupprimer@Sandra: oooooh