Jour 117 - Comme les journées sont longues...

Debout à 8h, on est prêts à appeler Luis Quintana. A la deuxième tentative, cela répond, C'est Yann au téléphone et lui explique qu'on a un van à vendre, le gars répond qu'il sera là "à deux heures de l'après-midi". Il faut tuer le temps en attendant, on traîne dans la ville et passe au cyber-café.

14h, nous sommes impatients à côté du van. Une vendeuse de boisson passe à proximité et me demande si je suis le proprio. Oui, pourquoi?! Elle m'explique que la police est passée, a vu qu'il manque l'autoradio et est à deux doigts de le mettre à la fourrière. Ce serait dommage mais au moins on en serait débarrasser! On se dit déjà que si la casse n'en veut pas, on pourra y mettre le feu, au moins on s'amuserait! Un peu plus tard, le gardien de la banque à côté me dit la même chose, la police est sur le coup.

Nous, on attend toujours Luis en plein cagnard. Heureusement que Connie et Roger sont toujours aussi gentils et nous laissent entrer chez eux. Ils nous offre même un sandwich. On essaie de rappeler la décharge, pas de réponse. C'est seulement vers 16h que nous avons une réponse: il dit à Connie qu'il n'avait rien compris, mais qu'il est intéressé et viendra à 17h30. C'est plus sage de laisser Connie parler afin d'éviter les malentendus...

En attendant, on joue aux cartes avec Connie et Franzel, la fille de nos protecteurs. Mais le sacré Luis n'arrive toujours pas. Connie le rappelle: il est occupé, il passera demain! Arf, enc...!

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