Lorsque j'enlève la chambre à air, je me rends qu'elle était déjà en piteux état. Pas la peine de gâcher, je cherche un atelier de réparation de vélo pour en acheter une autre. Il y en a deux à Amaïcha... l'un fait la grasse mat' et l'autre s'en va illico presto en voiture : "donne moi 100 pesos et je t'en ramène une dans 1 heure. Ou 2...". Laisse béton. J'en pique une à Antoine et Caroline, même si elle est un peu plus petite. Cela fera l'affaire. J'espère.
Nous continuons à descendre la vallée via une route en mauvais état. Nous rejoignons enfin la ruta 40. Mieux bitumée, c'est la route touristique qui traverse le pays du nord au sud. Nous sommes autour du point kilométrique 4200!
Lorsque l'on arrête sur la route, il n'y a pas un seul bruit autour de nous. A peine le vent, des fois, un oiseau au loin. Et des pick-up ou des berlines sans âge, pied au plancher, viennent régulièrement briser ce beau silence.
Une succession de longues lignes droites nous emmène jusqu'à Cafayate, au milieu des vignobles. Le vent souffle plus fort. Il faut forcer sur les pédales pour bien avancer. Les vues sur les vignes et les montagnes valent bien ça.
A Cafayate, c'est l'anniversaire de Caroline. Avec Antoine, nous préparons le dîner! Barbecue (parillada) et tarte au citron, le dessert officiel de chaque anniversaire de la demoiselle. Nous n'avons que quelques ustensiles rudimentaires et pas de four. La préparation, et surtout la cuisson de la pâte, est un peu épique... et le résultat étonnamment bon.
Le 1er mai, tout le monde chôme. Nous aussi. Nous prenons une journée de pause et en profitons pour aller au bal du 1er mai. La musique est sympa... mais un peu répétitive. Et nous quittons les lieux avant que les cartons de mauvais vin ne métamorphosent la jeunesse locale.
Nous continuons à descendre la vallée via une route en mauvais état. Nous rejoignons enfin la ruta 40. Mieux bitumée, c'est la route touristique qui traverse le pays du nord au sud. Nous sommes autour du point kilométrique 4200!
Lorsque l'on arrête sur la route, il n'y a pas un seul bruit autour de nous. A peine le vent, des fois, un oiseau au loin. Et des pick-up ou des berlines sans âge, pied au plancher, viennent régulièrement briser ce beau silence.
Une succession de longues lignes droites nous emmène jusqu'à Cafayate, au milieu des vignobles. Le vent souffle plus fort. Il faut forcer sur les pédales pour bien avancer. Les vues sur les vignes et les montagnes valent bien ça.
A Cafayate, c'est l'anniversaire de Caroline. Avec Antoine, nous préparons le dîner! Barbecue (parillada) et tarte au citron, le dessert officiel de chaque anniversaire de la demoiselle. Nous n'avons que quelques ustensiles rudimentaires et pas de four. La préparation, et surtout la cuisson de la pâte, est un peu épique... et le résultat étonnamment bon.
Le 1er mai, tout le monde chôme. Nous aussi. Nous prenons une journée de pause et en profitons pour aller au bal du 1er mai. La musique est sympa... mais un peu répétitive. Et nous quittons les lieux avant que les cartons de mauvais vin ne métamorphosent la jeunesse locale.
Vous avez décidé d'avaler combien de km. ?
RépondreSupprimerTu nous donneras tes recettes hors sol ou plutôt hors four, ça a l'air drôle.