Ma découverte du Rajasthan continue. Sable et poil de chameau sont au programme. Après Udaipur et son romantique lac, je rejoins la ville de Pushkar.
15 000 âmes, Pushkar est une ville religieuse avec son lac sacré. Mais surtout, le coin est fameux pour la foire annuelle qui fait la part belle au chameau. De nombreux spécimens mâchouillent paisiblement ou promènent les touristes dans les allées. Il y a également beaucoup de chevaux, bien chouchoutés par leurs propriétaires.
Cette foire est également prétexte à une grande fête foraine, avec 4 grandes roues alignées à la suite et des stands marchands en pagaille : nourriture, vêtements, jouets et même des fourches. Ici cela reste la campagne.
En attendant mon bus retardé par la circulation autour de la foire, j'ai pu discuter avec un producteur local de légumes puis avec le leader d'un groupe de musique rajahsthani. Je continue à l'Ouest vers Jaisalmer, dont la citadelle fortifiée est une perle dans le désert qu'elle surplombe depuis près de 900 ans. Mais avant, je commence par le village de Khuri.
Là je tombe sur la famille d'Arjun qui propose des excursions dans le désert du Thar. En fin d'après-midi, c'est à dos de chameau que je gagne les quelques dunes de sable du coin. La position sur la bête est en fait un peu inconfortable et sa démarche saccadée plutôt déstabilisante au début. Cela n'enlève toutefois rien au plaisir.
A 2 mètres de haut, je repense à toutes ces images de film : peuples nomades et autres cavaliers du désert.
Ce soir, c'est la pleine lune. Pendant que le soleil s'estompe gentiment, un disque orange laisse place à un autre, le dîner est préparé sur le feu de camp. Nous dormons sous d'épaisses couvertures pour la chaleur et sous la protection du clair de lune pour la beauté des yeux.
15 000 âmes, Pushkar est une ville religieuse avec son lac sacré. Mais surtout, le coin est fameux pour la foire annuelle qui fait la part belle au chameau. De nombreux spécimens mâchouillent paisiblement ou promènent les touristes dans les allées. Il y a également beaucoup de chevaux, bien chouchoutés par leurs propriétaires.
Cette foire est également prétexte à une grande fête foraine, avec 4 grandes roues alignées à la suite et des stands marchands en pagaille : nourriture, vêtements, jouets et même des fourches. Ici cela reste la campagne.
En attendant mon bus retardé par la circulation autour de la foire, j'ai pu discuter avec un producteur local de légumes puis avec le leader d'un groupe de musique rajahsthani. Je continue à l'Ouest vers Jaisalmer, dont la citadelle fortifiée est une perle dans le désert qu'elle surplombe depuis près de 900 ans. Mais avant, je commence par le village de Khuri.
Là je tombe sur la famille d'Arjun qui propose des excursions dans le désert du Thar. En fin d'après-midi, c'est à dos de chameau que je gagne les quelques dunes de sable du coin. La position sur la bête est en fait un peu inconfortable et sa démarche saccadée plutôt déstabilisante au début. Cela n'enlève toutefois rien au plaisir.
A 2 mètres de haut, je repense à toutes ces images de film : peuples nomades et autres cavaliers du désert.
Ce soir, c'est la pleine lune. Pendant que le soleil s'estompe gentiment, un disque orange laisse place à un autre, le dîner est préparé sur le feu de camp. Nous dormons sous d'épaisses couvertures pour la chaleur et sous la protection du clair de lune pour la beauté des yeux.
Je re-découvre les articles pêle-mêle,tu me fais sourire : le kangoo, l'allusion à ceux qui quittent leur boulot et puis dis-donc d'où sors-tu cette culture mythologique ?
RépondreSupprimerIl y a longtemps que je voulais te répondre mais je n'étais pas sur le bon moteur me dit-on.
Pourrais-tu mettre soit une date soit un jour si tu en as une idée, ce serait plus facile pour s'y retrouver. Tu vois que je rattrape mon retard, bisous. MPaule