La semaine passe vite avec quelques dernières balades dans Sao Paulo. Le dernier weekend, c'est à Rio que je le passe, avec Adrien et Irina. Le samedi, nous partons pour Petrópolis : la ville de Pedro. Dom Pedro
II, empereur du Brésil, y passait les étés pour fuir la chaleur de Rio
et les épidémies de fièvre jaune.
A Rio, nous logeons chez les parents d'Irina, reçus comme des rois, comme chez toutes les personnes qui m'ont hébergé depuis le départ d'ailleurs! Dans la zona Norte, depuis le balcon de l'appartement au 7ème étage, on peut voir les favelas s'étaler sur les collines au loin. C'est parti pour un petit tour en téléphérique au-dessus du Complexo do Alemao avant de partir.
Et le dernier jour de voyage arrive. Le numéro 228. Celui où il faut faire le sac une dernière fois. D'ailleurs, j'ai deux sacs... pour transporter livres (en portugais pour la plupart), tente et quelques autres babioles accumulées ces derniers temps. Et pour contredire mon point d'honneur à voyager le plus léger possible!
Et on se dit au revoir. Je pars pour l'aéroport. Galeao : ma porte de sortie du Brésil. Une vieille habitude.
Un détour par Londres et revoilà Paris. A force de partir vers l'Est, je suis revenu. Pour prolonger le plaisir, je rallie la Bretagne à vélo. Après tout ça, il est temps de retrouver famille et amis!
A Rio, nous logeons chez les parents d'Irina, reçus comme des rois, comme chez toutes les personnes qui m'ont hébergé depuis le départ d'ailleurs! Dans la zona Norte, depuis le balcon de l'appartement au 7ème étage, on peut voir les favelas s'étaler sur les collines au loin. C'est parti pour un petit tour en téléphérique au-dessus du Complexo do Alemao avant de partir.
Et le dernier jour de voyage arrive. Le numéro 228. Celui où il faut faire le sac une dernière fois. D'ailleurs, j'ai deux sacs... pour transporter livres (en portugais pour la plupart), tente et quelques autres babioles accumulées ces derniers temps. Et pour contredire mon point d'honneur à voyager le plus léger possible!
Et on se dit au revoir. Je pars pour l'aéroport. Galeao : ma porte de sortie du Brésil. Une vieille habitude.
Un détour par Londres et revoilà Paris. A force de partir vers l'Est, je suis revenu. Pour prolonger le plaisir, je rallie la Bretagne à vélo. Après tout ça, il est temps de retrouver famille et amis!
Eh ! ho ! Heureusement que je reviens, par hasard, sur les lieux ...du crime, (paraît-il que c'est systématique) j'aurais raté les photos et la conclusion ! C'est encore plus drôle après avoir vu l'auteur.
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