On arrive à l'hôpital et paf: 200$ la consultation (34€). Une heure d'attente parmi les malades. Enfin, c'est le tour de Cécile, le gars est content de nous sortir un ou deux mots en français, ayant passé des vacances à Paris, et le verdict tombe. Rien de surprenant en fait: une bonne grippe. Le temps d'acheter les médicaments et nous sommes dans le métro de retour vers l'auberge. Là nos sac ont disparu de notre chambre. La fille à l'accueil, un peu empotée, ne sait pas où ils sont... bah oui mais cela ne disparaît pas comme cela quatre sacs à dos. Enfin théoriquement.
Sauf que nous ne trouvons pas notre bus! Il n'est pas affiché sur l'écran... serait-il déjà parti? Non, impossible, j'ai pris le bus des dizaines de fois en Amérique du Sud, donc je suis sûr que les bus ne partent pas avant l'heure! Mais au Brésil, ils partent rarement en retard. Nous parcourons le quai de long en large... et le temps passe. Là, l'horaire est dépassé et je commence à craindre que nous ayons rater le bus. Je cours rejoindre le guichet de la compagnie de l'autre côté de la gare, pour avoir des renseignements: en fait, le bus a du retard et n'ai pas encore arrivé sur le quai. Au lieu d'afficher un simple "retard" sur le panneau d'affichage, ils n'affichent rien, pas malins ces argentins. Un peu de stress pour rien! Mais nous montons finalement dans le bus.
Au bout d'une heure, le chauffeur arrête le bus. Contrôle? Panne? On est pas rendus! Au bout d'un temps certain, on doit changer de bus. Allez, cette fois-ci c'est parti pour quelques milliers de kilomètres vers le Sud.
El bus El pinguno apparut
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