Ensuite nous passons dans les ruelles animées et pleines de porteños, les "habitants du port", qualifiant le habitants de Buenos Aires. Quant au nom Buenos Aires (= les Bons Vents), il vient du nom original mais un peu plus compliqué: "Nuestra Señora Santa Maria del Buen Ayre". Nous atteignons ensuite l'avenida 9 de Julho, jour de l'indépendance argentine en 1816: c'est aussi l'avenue la plus large du monde, flirtant avec les 140 mètres à son apogée. S'y dresse l'obélisque de Buenos Aires. Diego Maradona promit de courir autour en tenue d'Adam si l'Argentine gagnait la Coupe du Monde de football en 2010, alors qu'il en était sélectionneur. L'Argentine est éliminée en quarts par l'Allemagne... Diego garda son pantalon.
Ensuite, vient le tour des quartiers de Recoleta et de Palermo. Certaines rues ressemblent fortement à Paris. Les porteños ont parfois largement chercher l'insipration en Europe. BA est d'ailleurs souvent considérer comme la plus européenne des villes d'Amérique.
Nous allons ainsi jusqu'à l'hippodrome, point de repère de la bourgeoisie mais aussi des passionées de chevaux, dont fait partie Cécile. Nous n'avons pas le privilège d'entrer mais j'apprends tout de même que le cheval argentin est une race répandue à travers le monde, surtout connue pour le polo, sport pour lequel l'Argentine est une terre fertile.
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